[MayJadoline]

Merci… Oui, je ne sais pas si ça changera un jour, mais peut-être au file du temps, experiences, identité etc.. Je m’interroge beaucoup sur le genre aussi mais je crois que c’est l’asexualité qui me définit mieux oui. Je ne me sens pas dans le souhait d’etre trans physiquement changer le cors et de changer d’état civil ou pronon, mais l’identité féminine habituelle ne me resemble pas tellement et cela s’etend à la façon finalement indifférente dont je perçois l’hétérosexualité et le rôle incertif/réceptif donc le cors (d’un sexe et de l’autre) dans une certaine mesure; quoi que je préfère m’habille plutot avec des vetements de fille): je ne me definis pas par les stereotypes de genre. j’ai decouvert le concept de non binarité aussi. Ca me semble etre cohérent pour moi avec une certaine gêne qui concerne le cors et l’esprit à l’idée d’exercer un rôle sexuel, dit « passif » surtout, etre penetree. Mais je n’ai pas envie non plus d’avoir un rôle « actif » qui me paraît etre ambivalent, impliquer l’exercice d’une espèce de domination sur l’autre, consentant(e) ou pas, dont je ne souhaite pas non plus me trouvé responsable… Apres recherche j’ai découvert l’aromantisme. Mais je pense que j’aurai tendance plutard à pouvoir développer une relation romantique et coabitation fondée sur des intérêts pas nécessairement sexuels, d’ailleurs indépendamment du sexe/ genre de la personne. Comme une amitié intense: un lien intelectuel et des interêts partagés, aussi des calins pas trop « connotés entre partenaires sexuels »… Même si c’est sûrement plus compliqué de se mettre en couple sur la durée avec ces conditions, je vais trouver ce qui me va si l’asexualité est une orientation partagée par d’autres gens. Je suis rassurée: je voulais savoir si mon cas était unique.