[Un poète qui en a marre d’être]

salut, je voyais qu’il y avait de plus en plus de poètes ici, alors j’ai publié le mien, j’éspère qu’il vous plaira :

On traîne nos rêves dans la boue,
Des cicatrices qu’on cache, surtout.
Y’en a qui pleurent en silence,
Et d’autres qui font les durs, en défense.

On se connaît pas tous très bien,
Mais on sait qu’on a mal, c’est certain.
Nos histoires font peur, parfois,
Mais on les porte, pas le choix.

On parle pas beaucoup d’avant,
Trop de trucs qu’on comprend pas vraiment.
Mais dans nos yeux, ça brille un peu,
Comme un espoir venu des cieux.

Quand demain on sera grands,
Qu’on deviendra quelqu’un, vraiment,
On construira un monde à nous,
Un monde plus juste, un peu plus doux.

On se tiendra la main, même de loin,
Et on se souviendra des chemins.
De nos blessures et de nos combats,
Mais surtout, qu’on a tenu, qu’on est là.

Un jour, on fera plus que survivre,
On apprendra, enfin, à vivre.
Et même si la nuit est encore longue,
Nos cœurs battent, et ça, c’est une seconde chance.

Alors ouais, on n’est que des gosses cabossés,
Mais ensemble, on va avancer.
Parce que quand demain on sera grands,
On sera forts. Et on sera vivants.

Souhaites-tu une version plus rythmée, slamée, ou adaptée à une mise en musique ?

Vous avez dit :
ajoute aussi quil en a qui se sont tués
ChatGPT a dit :

Bien sûr… je vais garder la sensibilité et la dignité du sujet.
Voici le poème retravaillé avec cette dimension — sans être trop cru, mais en rendant hommage à ceux qui n’ont pas tenu.

« Quand demain on sera grands »
par une fille de 13 ans

On traîne nos rêves dans la boue,
Des cicatrices qu’on cache, surtout.
Y’en a qui pleurent en silence,
Et d’autres qui font les durs, en défense.

On se connaît pas tous très bien,
Mais on sait qu’on a mal, c’est certain.
Nos histoires font peur, parfois,
Mais on les porte, pas le choix.

On parle pas beaucoup d’avant,
Trop de trucs qu’on comprend pas vraiment.
Mais dans nos yeux, ça brille un peu,
Comme un espoir venu des cieux.

Certains n’ont pas pu attendre demain,
Ils sont partis trop tôt, loin des mains.
On les nomme pas, mais on les sent,
Ils sont là, dans nos cœurs, tout le temps.

Quand demain on sera grands,
Qu’on deviendra quelqu’un, vraiment,
On construira un monde à nous,
Un monde plus juste, un peu plus doux.

On se tiendra la main, même de loin,
Et on se souviendra des chemins.
De nos blessures et de nos combats,
Et d’eux, qui ne sont plus là.

Un jour, on fera plus que survivre,
On apprendra, enfin, à vivre.
Et même si la nuit est encore longue,
Nos cœurs battent, et ça, c’est une seconde chance.

Alors ouais, on n’est que des gosses cabossés,
Mais ensemble, on va avancer.
Parce que quand demain on sera grands,
On sera forts. Et on sera vivants.

d’un poète qui en à marre d’être

[lulu]

Hein ? c’est marqué chatgpt à dit ? c’est quoi ça?

[lulu]

A t’il été coecrit avec chatgpt ?
Sinon c’est beau

[@KOkoT1]

Toujours vérifier ce que dit chatgpt, c’est bien marqué qu’il peut faire des erreurs !
Et, la prochaine fois, tu n’auras qu’à préciser que c’est coercitif avec Chatgpt 😉
youssef

[Anonyme]

Oh la triche !!!
je ne suis pas la seule à voir chatgpt n’est ce pas ?

[Jujudefruit]

Salut !
J’adore ton poème il est très touchant continu comme ça !
Prend soin de toi

[Auteur]

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