Hey… Je suis allé•e voir une psychiatre, et pour une fois j’ai parlé (et pas assez selon elleux). Maintenant, je me souviens pourquoi je haïssait tous les psys : parce qu’iels répètent ce qu’on leur dit. Secret médical… elle a répété la quasi totalité de ce que je lui ai dit à mes parents. Parce que c’est dangereux, parce que j’ai des pensées suicidaires, et avait une voix dans le tête (mais beaucoup en ont, non ?). Et elle veut que je prenne du R**** (je crois que c’est ça) pour calmer mes angoises et mes émotions (elle a pas compris, c’est le contraire, je me sens souvent vide…), et mes pulsions de scarification, alors que ce ne sont pas des pulsions ! Je ne veux pas en prendre, je ne veux plus jamais aller chez un médecin. Et j’ai failli encore une fois me faire hospitalisé•e. Mes parents s’inquiètent, sont tellement parano que ma mère a dormi dans ma chambre. Iels veulent dépenser leur argent pour moi (je refuse la plupart du temps), font tout pour que je sois heureuxe. Mais comment leur expliquer que je ne veux pas aller mieux, que je ne compte pas mourir tout de suite mais dans quelques années, que quand je me fais du mal je ne vais jamais trop loin, qu’iels m’énervent à s’inquièter, que je voudrais juste retrouver mon quotidien fonçant droit vers la mort ? PS : j’ai 13 ans et 7 mois.
Bonjour Je suis dans le même cas que toi, g des idées noire et susidere avant j’allais voire une psychologue elle me promessé de ne rien dire ,sauf que 1mn après mes parent été déjà au courent, de puit ça je nause plus aller voire qu’elle qu’un ,pour parler de mes problèmes … J’entends des voix ,qui me pousse a faire des tentative de suside, je suis apeprée a la 3eme se moi ci ,on me prendre pour une folle . Mes parents dise que je suis folle ,et m’insulte et,rabaisse . Sa va faire 4ans que je pratique l’autau mutilation, g fay y rester plus d’une fois … Donque je te souhaite plein de courage . Et pale s’en a t proche ou a t ami(e)s
Ton message est assez interpelant… Comment un psychiatre ou une psychiatre et psychologue peuvent dire des choses à vos parents alors qu’il y a le secrêt médical ? Personnellement, je vois des psychologues et des psychiatres mais jamais ils n’ont répété ce que je leur ai dit. Avant de rapporter au tuteur, ils doivent tout d’abord avertir le patient et lui demander son autorisation et bien-sûr le psychiatre/psychologue doit aussi donner les raisons à son patient du pourquoi il va divulguer ses informations. Pour moi, ça a toujours marché comme ça mais même si je leur disais de ne pas le dire, ils le devaient mais ils m’en informaient toujours parce que j’étais en danger donc je ne comprends vraiment pas le comportement de vos psy ! As-tu essayé de lui demander pourquoi elle a répété ces informations sans ton autorisation et sans avoir été informé ? Dis lui que ça t’as déplu, dis lui tout ce que tu dis ici dans ton message car il y a de forts risque que ça recommence… La meilleure solution dans des conflits ou autres c’est la communication 😉 Pourrais-tu essayer d’y retourner ? Sinon, tu pourrais lui envoyer un petit mot lui expliquant pourquoi tu as peur d’y retourner, tes craintes et ce dont tu as besoin… Qu’en penses-tu ? Je reste à ta disposition si tu as besoin 😉 Je te souhaite une bonne soirée
Salut Émilie, En fait, j’ai été prevenu•e, mais seulement après avoir parler. La psychiatre m’a demandé ce dont je l’autorisais à parler à ma mère. Je lui ai dit de ne rien parler. Et là, elle m’a répondu que ce n’était pas possible et qu’elle était obligée de parler des scarifications, de mes idées suicidaires et de la voix dans ma tête (même si je ne l’ai plus en ce moment). Alors elle en a parler à ma mère, et j’ai dit à la psy que je la hais. Aussi, je vais être obligé•e de retourner la voir, parce qu’il faut qu’elle voit si les médocs sont adaptés. Mais je ne les prendrais pas, donc elle perd son temps.
Salut Vide en moi, Merci, je te souhaite aussi plein de courage Pour mes amies, je leur en ai déjà parlé, mais si je leur dis que je continue à me scarifier, elles finiront par aller le dire à ma prof principale ou à mes parents.
Je comprends la réaction de ta psychiatre, elle a du beaucoup s’inquiéter pour toi et si elle a répété ces choses à tes proches, ce n’est pas contre toi mais pour toi. Elle est aussi obligée de prévenir quelqu’un si ton cas est inquiétant sinon aux yeux de la loi c’est de la « non-assistance à personne en danger » et elle peut être punie donc c’était son devoirs de le répéter… Peut-être que la prochaine fois, tu pourrais lui dire que tu aimerais lui parler avant de lui divulguer les choses puis de lui dire si elle te promet de ne rien répéter. Qu’en penses-tu ? Après, je te comprends aussi, tu as du te sentir pire que trahit ! ça a du être dur pour toi, j’imagine… Moi aussi, je n’aurai jamais accepté ça mais j’essaye de prendre aussi du recul pour pouvoir me mettre aussi à la place de ta psychiatre… Comment vas-tu sinon ces derniers jours ? Je reste à ta disposition, si tu as besoin et le veux ! Je te souhaite une bonne soirée ! Emilie
Salut Émilie Je suis allé•e voir une psychologue, qui a dit à mes parents qu’elle était très inquiète, et qu’il valait mieux m’hospitaliser pendant environ 1 semaine. Mais elle interprète mal tout ce que je lui dis, et je n’ai pas besoin d’être hospitalisé. Ça ne m’aide pas à faire confiance (elle m’avait assuré juste avant qu’elle ne dirait rien, alors que indirectement elle les a mit au courant). Sauf que je ne veux pas être isolé•e de mes amies, et que cette option m’isolerait de tout… Bonne journée/soirée à toi aussi
Tu penses que l’hospitalisation n’est pas la bonne solution, OK ! Mais si elle propose ça, c’est qu’elle a aussi ces raisons car continuer de souffrir n’est pas la solution non plus. Puis ce n’est qu’une semaine, prends ça comme un nouveau départ, une pause aussi où tu pourras te reposer, réfléchir à ce qui est bon ou non pour toi. Mais sache que de nos jours, les médecins tout ça, sont moins dans l’hospitalisation donc si elle te dit ça, c’est qu’elle s’inquiète pour toi… Mais, j’ai l’impression que tu es dans le déni, donc peut-être que tu te dis que si tu vas à l’hôpital tu te retrouvas confrontée à la réalité et tu ne veux pas de ça ? Je me trompe ?
Je te souhaite une très bonne journée et plein de courage ! Bisous ! Emilie
Salut Émilie, Je ne sais pas pour l’hospitalisation. Peut-être que la psy se trompe car je ne lui parle que de la moitié des choses, ou alors c’est mon attitude disante qui lui fait penser ça. Je verrais ce que comptent faire mes parents. En fait, j’ai surtout l’impression qu’on me considèrent comme malade (à part mes amies), et je hais cette impression, surtout que je trouve que les gens me regardent avec pitié et inquiétude. Le fait d’aller à l’hôpital accentuerait ça, même si c’est surtout aux yeux de la société… Quand au déni, peut-être, je ne sais pas si quand je répétais à la psy « je n’ai pas besoin de médocs ou d’hospitalisation » c’était pour me convaincre moi ou seulement elle. Courage à toi aussi
Je ne saurai te dire si ta psy se trompe mais fais lui confiance, elle est là pour toi et non contre toi. C’est comme les profs, on n’aime pas celui qui gueule mais s’ils gueulent c’est aussi parce qu’il veut nous voir réussir ! Tu sais prendre quelqu’un pour malade, ce n’est pas ton caractère, c’est ta souffrance avec laquelle tu es piégée. Alors peut-être que les gens vont penser que tu es malade mais si tu veux aller mieux, il ne faut pas penser aux autres mais à toi, tu ne dois pas agir selon comment les autres vont penser de toi, fais comme tu le sens, c’est ta vie et les autres c’est pas ton problème, occupe toi déjà de toi (conseil).. Après tu préfères quoi que les gens continuent de penser que tu es malade et que tu souffres de plus en plus ou bien tu te saisi de l’aide qui t’es proposée comme ça, tu iras mieux et plus personne ne pourra penser que tu es malade et de plus, ils seront fière de toi ! Aujourd’hui, sinon comment ça va ? Allez, je te souhaite une agréable fin de journée ! Je reste là si tu as besoin !
Salut Émilie, Aujourd’hui, ça allait, même si j’ai toujours l’impression qu’on me juge ou que les gens se moquent de moi chaque mercredi quand je prend le bus de ville (parce que je passe par un endroit très fréquenté)… Et toi, comment ça va ?(si tu veux te confier je suis là pour t’écouter et essayer de te conseiller) Bonne soirée/journée
trouves-tu que ton état s’améliore ? Ou au contraire ? Moi, j’ai tout de même l’impression que tu avances…
Sinon moi, c’est très compliqué… Je ne sais plus quoi faire, je suis épuisée et plus rien ne me suffit pour tenir en vie… A vrai dire, je n’ai plus espoir non plus…. Je me sens comme morte vivante… Je n’arrive plus à rien, je suis désespérée. En tout cas, j’espère que toi ça va tout de même. Je reste à ta disposition si tu as besoin. Je te souhaite une bonne fin de journée !
Salut Émilie, Mon état reste constant je dirais. Aujourd’hui, ma mère à découvert que je me scarifiais aussi sur les cuisses, j’ai cru qu’elle allait pleurer devant moi… En fait, mes proches me font culpabiliser même si ce n’est pas forcément leur but. Et comme en sport j’arrivais pas à courir et que mon groupe de course d’orientation me demandait tout le temps pourquoi, je leur ai dit et maintenant elles me regardent différemment… Aussi, je suis super stressé•e en cours, chez moi (surtout quand c’est calme) donc mon ventre gargouille, j’ai des gaz et des rots… et c’est gênant (je pense que c’est lié au stress). Je sais pas si ça peut te faire sourire, mais en cours de technologie, à la place du diagramme pieuvre que l’on devait faire, j’ai dessiné une pieuvre tout court (et été légèrement insolent•e à la place de certaines questions). Depuis, il paraît que ce prof qui est outré montre ma copie à toutes ses classes. Sinon, tu aimais quoi quand tu étais petite ? Tu peux peut-être essayé d’explorer ces anciennes passions. On dit toujours que après la pluie, il y a le beau temps. Sache que je suis là si tu as besoin ou envie de te confier. Bonne journée/soirée
Salut Émilie, D’habitude tu es active sur le forum tous les jours, ça m’inquiète. Tu es toujours dans ce monde ? J’espère que tu ne t’es pas suicidée, et que peut-être que tu n’as plus besoin de ce forum…
Tu sais, je pense que le fait que tu es des gaz, que ton ventre gargouille et des rots, c’est effectivement lié au stress parce que moi aussi ça m’arrive et j’avoue que ce n’est pas du tout agréable surtout lorsque tu es en cours, qu’il y a plus personne qui parle et que le ventre gargouille, c’est chiant mais en soit, c’est naturelle… Sinon, moi, quand j’étais petite, j’ai toujours aimé les jeux de ballons alors dernièrement, j’ai repris des entrainements de foot par contre, c’est très fatiguant car les entrainement sont le lundi et jeudi soir de 19h30 à 21h… Mais franchement, il y a une bonne ambiance où tout le monde rigole et se soutien… Sinon, comment te sens tu aujourd’hui ? Je te souhaite un agréable week-end et je reste à ta disposition si tu as besoin !
Salut Émilie, Aujourd’hui, j’aurais comme toujours voulu rester chez moi, mais mes parents m’ont forcé•e à sortir pour faire de l’escalade (j’ai les doigts KO, c un miracle que j’arrive à écrire). Et pour les bruits du ventre, c naturel, mais quand ça dur super longtemps, ça attire l’attention. Sinon, bah je supporte plus aucune contrainte. Hier j’ai vu la psychiatre, et j’ai réussi à la convaincre que tout va bien (je ne pensais pas savoir si bien mentir). Je suis content•e de voir que tu es toujours là, et que tu as repris le foot ! C’est cool que les gens se soutiennent. Sinon, ça va ? Bonne journée/soirée
Je te comprends pour ton ventre mais c’est du au stress où il y a aussi le fait que tu as peut-être faim ? Tu sais… Tu ne devrais pas mentir à ton psychiatre, il est là pour t’aider et non pour t’enfoncer. C’est son job, il doit t’aider. Alors lui mentir et/ou ne rien dire n’arrangera rien du tout… Je sais de quoi je parle… Mentir n’est pas une solution mais une sorte de fuite et si tu veux aller mieux, tu prends la mauvaise direction… Après la question est : veux-tu vraiment t’en sortir ? (t’inquiète, ce n’est pas de la provocation mais une vraie question.) Sinon, moi, je ne suis toujours pas en forme, mon état s’empire et ça ne cesse pas… Je suis mal sans jamais que ça s’arrête… C’est très dur à vivre. Je te souhaite une bonne fin de week-end et plein de courage !
Salut Émilie, Je ne crois pas que j’ai faim. Et je ne veux pas aller bien. D’un côté, j’ai peur de la mort et du suicide, parce que je ne sais pas à quoi ça mène. Et je ne veux pas aller bien alors que le monde est aussi pourri. Ça va mieux pour ça parce qu’il y a deux semaines je voulais mourir avant mes 30 ans. Je ne sais plus si c’est le cas. D’un autre, mon mal-être s’amplifie, je voudrais me frapper contre les murs. Faute de mieux, les scarifications sont plus nombreuses et profondes. Je suis perdu•e, comme toujours. Je ne sais pas qui je suis, qui j’aime (ou pas), comment me genrer (tu as peut-être remarqué que je me genre au neutre ici, mais je ne suis pas sûr•e, je me questionne beaucoup)… Tu disais que les week-ends sont durs pour toi. Mais il faut voir le positif, tu l’a passé et tu est toujours là ! Je te souhaite beaucoup de courage. Je suis toujours là si tu veux te confier ou parler. Bonne journée
J’ai une question, qu’est ce qu’il te faudrait pour que ça aille comme tu veux ? Quel est ton rêve ? Quels sont tes projets ? Puis, tu dis ne pas vouloir aller bien mais pourquoi ? ça te fait peur ? Comment te sens-tu aujourd’hui ?
Je te souhaite un bon mercredi avec plein de courage ! Je reste là si tu as besoin 😉
Salut Émilie, Je ne sais pas ce qu’il faudrait pour que ça aille comme je veux. Ça fait peut-être « gosse de riche » (ce que je ne suis pas d’ailleurs) dire ça mais rien ne me convient jamais. À la base, mon rêve, c’est d’être écrivain•e. Sauf que en ce moment, j’ai vraiment du mal à me mettre à écrire… je me rends compte que peu à peu, je n’invente plus d’histoires. Je suis plus dans le monde réel et ça ne me fait pas de bien. Merci, courage à toi aussi ! Moi aussi je reste là au cas où. Bonne journée
Tu sais, j’ai envie de te dire que si tu as un rêve n’abandonne jamais ! Alors peut-être qu’en ce moment oui, ça ne va pas, oui tu as du mal à te mettre à écrire bref ce n’est pas parce que actuellement ça ne va pas, que tu n’y arrives plus que demain sera pareil ! Continues d’y croire, garde ta volonté et peut-être que tu devrais d’abord te centrer sur ta santé avec comme objectifs de devenir écrivain ! Quel genre de texte tu aimerais écrire ? Je te souhaite une agréable soirée et plein de forces ! Je reste à ta disposition si tu as besoin 😉
Salut Émilie, J’aimais écrire des textes réalistes, des histoires fantastiques… maintenant je sais plus trop. Hier, je me suis encore diputé•e avec mes parents (surtout ma mère), ça m’a beaucoup blessé•e ce qu’elle m’a dit : « tu fais pas d’efforts », « tu nous emmerde », « tu me déçois ». Aujourd’hui, ça allait pas, j’ai pensé toute la journée à mon lit duquel je n’aurais jamais dû sortir, et aussi au suicide. Parce que de plus en plus, je ne supporte plus de vivre, le moindre petit problème me donne envie de me frapper la tête contre un mur. Ce sentiment est amplifié par mes règles. À chaque fois que je les ai, c’est une catastrophe psychologiquement et physiquement. Y a t-il un moyen de ne plus les avoir ? J’en ai marre de faire pitié aux gens. Aujourd’hui, trois adultes sont venus me voir pour ça. Et pour toi, ça va aujourd’hui ? Je suis là si tu as besoin. Bonne fin de journée !
Oui moi ça va. J’ai repris un peu les cours ainsi que le foot. Il reste tout de même des moments très compliqués. Tu aimerais ne plus avoir tes règles ? c’est sa ? Si oui, je ne connais pas de moyen de ne plus les avoir en plus si tu ne les as plus, plus tard, tu ne pourras pas avoir d’enfants. Peut-être tu pourrais te diriger vers un professionnel pour qu’il t’aide? Je vois et j’entends que tu vas mal… Ne reste surtout pas seule avec tout ça ! Comment te sens-tu aujourd’hui ? Je reste aussi à ta disposition si tu as besoin !
Salut Émilie, C cool que tu ai repris un peu les cours et le foot ! Je suis toujours là si tu as besoin de parler (ou plutôt d’écrire). C’est bien ça, j’aimerais ne plus avoir mes règles. Et avoir un enfant plus tard, je m’en fiche, j’ai déjà du mal à envisagé la semaine d’après, donc l’avenir lointain… Je ne suis pas seul•e. Loin de là, justement. C égoïste de dire, ça, mais même si j’ai peur de la solitude, j’aimerais tellement que mes proches me laissent ou ignore que je vais mal. Iels le disent elleux même à la psychiatre, si je ne me scarifiais pas, iels croiraient que tout va bien parce que je souris tout le temps. Mais iels commencent à percer mon masque… J’ai envie de me scarifier beaucoup plus profond. Les gens qui se scarifient disent souvent qu’iels ont hontent de leurs cicatrices, pourquoi moi je veux en avoir toujours plus ? Bonne journée
Je connais ce ressenti de vouloir avoir toujours envie de se scarifier de plus en plus, de plus en plus profond quand on va très mal ! Personnellement, je l’ai fait aussi… Pour moi, je m’en foutais au début d’avoir des marques surtout que c’était pas énorme et à chaque fois que je recommençais, c’était de plus en plus, de plus en plus profond jusqu’à ce que actuellement, j’ai des cicatrice dégueulasse qui resteront à vie… Je ne sais pas si je regrette parce que je suis toujours mal donc je ne m’en rends pas compte à 100% mais je sais que plus tard, je le vivrais très mal, comment les cacher, que dire si on me pose la question… C’est vrai que c’est soulageant de se faire du mal mais en vrai , ça fait plus de mal qu’on ne le croit mais c’est très dur de s’en empêcher, malheureusement… Moi, je te conseille d’arrêter au plus vite car plus on continue plus c’est dur de s’arrêter comme la drogue. Tu peux toujours essayer de scarifier autre chose que toi… Tu peux dessiner ton bras et le scarifier… Tu peux acheter une peluche que tu scarifieras… As-tu déjà pensé à une autre méthode de te faire du bien quant te faisait du mal ?
Salut Émilie, Pour les scarifications, le faire sur autre chose que moi ce n’est jamais assez, je veux toujours plus. J’ai déjà dessiné sur les endroits où je me scarifie, mais j’ai peur de ce que l’encre peut faire à la peau (bizarre vu que les scarifications sont plus dangereuses). Le seul truc qui m’empêche de me scarifier profondément, c’est ma conscience, parce que j’ai peur de faire une grosse erreur et d’atteindre une artère. Je ne sais pas si ce qu’a dit ma mère est vrai, que si l’on atteint une artère le sang se vide en 3 min et on ne peut plus l’arrêté. La seule chose qui peut me retenir de me scarifier, c’est si que je dois me dépêcher, parce qu’il faut que j’ai le temps. Sauf qu’à ce moment, je gratte les marques dans la journée, sûrement par manque. Et toi, comment ça va ? Bonne soirée
Je suis désolée d’avoir mis du temps à te répondre mais j’ai eu des empêchements en plus que c’était les vacances ! Je te comprends mais te faire du mal ne va qu’empirer ta souffrance et c’est une souffrance en plus la scarification et je sais de quoi je parle, une vrai addiction !!! Même moi, actuellement, c’est dur d’y faire face alors je te conseille d’arrêter le plus vite que tu peux. Où en es-tu actuellement par rapport à tout ? Sinon moi, il y a des hauts et des bas, actuellement, je ne sais pas où me situer malheureusement…
Je reste à ta disposition si tu as besoin ! Je te souhaite une bonne journée !
Les forums sont des espaces d’échanges entre jeunes
(l’équipe ne répond pas à tes messages). Cependant tes contributions sont soumises à la validation quotidienne des professionnels du site. Elles sont modérées à priori, c'est-à-dire avant leur publication, plusieurs fois par jour. Les modérateurs sont des professionnels de santé (psychologues, médecins, conseillers conjugaux et familiaux...), salariés de l’équipe filsantejeunes.com. Fil Santé Jeunes piloté par l'EPE IDF respecte la réglementation sur la protection des données. Nous t'invitons à prendre connaissance de nos engagements sur la page suivante : Mentions légales
Tu peux discuter sur ces différents forums
Pour accéder aux forums, tu dois lire et valider la charte
Pour ta sécurité et ton intérêt, nous nous réservons donc le droit d’intervenir en supprimant les messages (en partie ou en totalité) qui ne respecteraient pas les règles suivantes :
Ne pas divulguer de renseignements personnels qui permettraient de t’identifier (nom, numéro de téléphone, e-mails…).
Respecter les participations et les avis de chaque internaute quel que soit son âge, sa culture, son sexe, son ethnie, sa religion, et toute autre préférence et caractéristique personnelle.
Faire attention à ton vocabulaire ainsi qu’à la forme et au contenu de tes propos (notamment concernant la sexualité) afin de ne pas heurter la sensibilité des autres internautes et notamment des plus jeunes d’entre vous.
Éviter tout discours incitateur qui mettrait en danger la santé et la sécurité des internautes (apologie de la drogue, de l’alcool ou d’autres pratiques à risque, noms de médicaments).
Ne pas indiquer l’adresse de sites, de lieux, de personnes dont nous ne pouvons vous garantir le contenu ou le sérieux. Il n’est pas possible de faire de publicité.
Si l'une de ces règles n'était pas respectée, tu t'exposerais à une exclusion temporaire de notre forum.
Tout message publié peut être lu, utilisé, repris et cité par tous. Tu as la possibilité d’effacer ou de modifier tes messages. Tu peux également demander à ce qu’ils soient supprimés.
Tu disposes d’un droit d’accès, de modification, de rectification et de suppression des données qui te concernent. Les données qui te sont demandées ne sont destinées qu’à te permettre d’accéder à ton compte. Elles ne sont ni utilisées par filsantejeunes.com pour une autre raison, ni transmises à des tiers.
Les informations partagées sur ce forum ne remplacent pas une consultation chez un professionnel de santé. En contribuant, tu t’engages cependant à ne partager que des informations qui te semblent vraies et correctes au vu de tes connaissances et de ton expérience personnelle.
Dans le cas où les informations médicales que tu diffuses ne proviennent pas de ton expérience personnelle, merci d’indiquer leurs sources de manière précise.
Dans le respect de la loi, Fil Santé Jeunes se doit de réagir si un message fait état d’un danger actuel.