J’ai écrit ce texte il y’a quelques mois , c’est une sorte de rap / poème sur le mal être en général..(le premier paragraphe et plutôt centré sur la timidité) Pourquoi je suis seule entourée ? Pourquoi une boule m’empêche de respirer? Quand es-ce qu’il arrive, le bonheur espéré? Ma bouche est faite pour rester fermée . Si je partais , tout de suite, de cette soirée ? Es ce que quelqu’un le verrait? Je hurle, je saigne , mais ils ne voient rien… Tout le monde s’en fout, et je les comprends bien. Revenez! Ceux qui m’ont comprise, ceux qui m’on aimés… J’ai besoin de respirer .
Et soudain.. tout s’efface, ce taillade J’évite de peu la noyade Mais mon cœur a coulé .
Elle me prend dans c’est bras M’aide a avancé dans mes choix Elle me donne des conseils Ce n’est plus pareil Avec elle je me sens bien Elle me soutien dans mes chagrin Je me sans beau Je suis réel ? En regardant se reflet dans se miroir Se n’est plus moi Non se n’est plus moi que je voie C’est Ana Elle qui fait diminuer mon poids .
Oui c’est parfois quand on va mal qu’on écrit, poèmes ou pas, pour exprimer ce qu’on a sur le cœur.
D’ailleurs j’ai écrit des tas de poèmes quand j’étais pas au meilleur de ma forme, comme ceux-ci (voir les messages suivants, j’en poste trois ici) (celui-ci je crois que je l’avais déjà posté sur un autre topic), dites ce que vous en pensez svp :
Rien… Plus rien dans ton corps, dans ton cœur. Rien dans ta tête. Simplement un cri de désespoir, un appel à l’aide avant le dernier coup. Avant le dernier souffle, le dernier pas Le dernier mot, la dernière larme…
Plus qu’une seconde à vivre, une seconde à penser, Comme le dernier souvenir : Celui de la vie, du bonheur.
Une vie passée à souffrir, à mourir. Une vie réduite à une seconde de souvenirs. Une vie réduite à une seule larme. Une seule larme, un cri de désespoir, un dernier appel à l’aide.
Une seule larme qui coule. Une seule larme qui tombe sur le sol imprégné de sang.
Le cœur déchiré, Une vie passée à pleurer. Une âme abandonnée, Sans pouvoir reculer.
Le cœur qui éclate en mille gouttes de sang. Comme une larme perdue au milieu de l’océan. Car on ne finit pas sa vie à quatorze ans.
Plus un seul mot, plus une seule émotion. Assis devant la mer, juste à attendre. Attendre des heures, comme si c’était des secondes. Attendre dans le vent, la tempête, sous l’orage et la pluie.
Se souvenir de chaque mot, chaque chanson, Comme si c’était la dernière fois qu’on en voyait. Chaque bonheur, chaque émotion, Comme la dernière fois qu’on existait.
Prendre la vie comme un rêve pour oublier la solitude, Un rêve qui s’envole, comme à chaque habitude. Oublier d’être seul, oublier l’inquiétude.
Comme une larme versée, une goutte de trop, Juste saute sauter des roches, et couler sous l’eau. Avec ce « pourquoi », le dernier de tous les mots.
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C’était les deux poèmes plutôt tristes, mélancoliques et sur des sujets graves (souffrance, suicide). Faits à la mi-janvier 2023 à peu près. Du coup j’ai réouvert mon journal à d’anciennes pages et c’était vraiment pas le paradis à ce moment-là. Heureusement je vais mieux aujourd’hui, et même s’il y a des hauts et des bas j’essaie de garder la tête hors de l’eau, même si le moral n’est pas toujours là.
Je sais que c’est facile de dire ça, et compliqué, mais si ça ne va pas, confiez-vous, à des amis, de la famille, des professionnels, à un journal, en bouteille à la mer (bah pouquoi pas ?), sous forme de poème, à l’écrit ou à l’oral, comme vous voulez. C’est peut-être une solution temporaire, mais sachez qu’un jour ça ira mieux, même si ce n’est peut-être pas au moment que vous pensez. « Plus grande est la descente, plus belle sera la remontée » (Citation par… moi-même XD) Voilà, surtout ne vous découragez pas, ayez confiance en vous, vous êtes capables d’accomplir de grandes choses 😉