L’ombre et la pluie
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Une poussière isolée, le il y a 11 mois et 2 semaines.
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Une larme sur l’aorte
ParticipantSi le lieu est l’antre d’une certaine liberté langagière. J’y dépose à ma manière les plumes que je laisse à défaut d’écrire avec.
La noirceur est un venin ou un festin ?
Une source folle et obscure sans faim,
Elle me dévore, sûrement pour un rien.
Alors j’en redemande et m’offre à ce Destin.Des années à m’intégrer. Des tentatives, des écarts, des jeux d’ombre et de lumière et me voici encore et toujours debout mais sans que rien n’ai changé. Quelque soit le nombre d’année passée, je suis figé dans le temps et les angoisses perpétuelles. Tic, tac, Tic, tac, l’heure sonne, elle tonne et résonne. Je décroche ou je m’accroche.
Alcoolisme, paranoïa, noirceur, déviance, fatigue et automatismes.
Laissons ce sujet vide car pour trouver la réponse adapter à mes maux, il faut bien de l’écho.
La même qu’une poussière isolée
Salut,
Veux-tu parler ?
Je pose pas de questions, ni ne donne de conseils tant que je ne suis pas sûre que tu en veuille, donc n’hésite pas.
J’espère que tu répondras.
Passe une bonne journée, tu as mon soutien.
Tu as une très belle écritureUne larme sur l’aorte
ParticipantJe suis plausiblement ici-bas pour converser. Sinon l’encre déposée, pour rester en tête, secrète.
Je tentais ma chance ici pour voir si les maux se mélangeaient bien dans le cœur du lecteur.
L’écrit est tellement permissif et offre une beauté à l’écoute des mots s’enchainant autour de mon cou.Je prends oui, toutes réponses, toutes pensées, toutes questions et même conseils et confessions. C’est le plaisir du forum.
Pas un jour sans m’abreuver, tels les dieux.
Pas un soir sans laisser au mur un nouveau creux.
Je score les années de vie
Sans plaisir, mais c’est ainsi.Je ne peux que remercier ta première réponse.
Je dois essayer de ne pas parler en « énigmes » mais je suis quelque peu parano.La même qu’une poussière isolée
Je ne suis pas la seule ici
À écrire en poésie
Pour décrire ma triste vie
C’est mon moyen de survieVeux tu bien partager
Le nombre d’années passées
A vouloir déposer
Ces litres d’encre foncéeDes humains, il y en a si peu
Que je peux regarder dans les yeux
Mais je passe mon temps à mentir
Quand je leurs dis ne pas souffrirDepuis quand es-tu sur Terre
Et combien de fois te taire
Tu as été obligé.e
Pour ne pas les inquiéterC’est avec grand plaisir
Que je continue de t’écrire
Ta plume, je n’aurais jamais
Même si je le voulaisUne larme sur l’aorte
ParticipantLe plaisir mielleux de la mélodie,
Quand tu composes ta vie.
Il n’y a point besoin d’être Cyrano
Pour apprécier quelques mots.Écrire pour ne pas oublier,
Écrire pour ne plus penser.
Écrire pour le souvenir d’un rire,
Écrire contient au mieux ce qui te fait souffrir.La noirceur m’a dévoré, bête affamée !
Année après année, tous ces hivers à me confronter
A des milliers de pensées, des guerres inavouées
Dont je suis la proie et le monstre déchaîné.Les années permettent de s’intégrer. Si tu portes des masques par milliers. Avec le temps tu seras un rempart au regard du monde. Mais les fissures sont à l’intérieur.
Elles sont belles et violentes à la fois. On ne se voit plus grandir, on ne se voit plus vieillir, on ne se voit plus réellement. Mais on est là.L’homme que suis en voit passer des années. Mais il y a toujours des choses qui grandissent et se nourrissent de moi.
Maelly401
ParticipantLa pluie tombe autant que mes larmes,
Mais celles-ci reflète mon arme,
Cette porte entre les deux mondes,
N’est qu’une sortie de secours.
Si ses personnes immondes,
S’en vont ,fuient et courent,
Il n’y aurait aucune raison,
que j’y vais en cette saison.
Même si les paroles sont enfermés au fond,
Je voudrais les remonter en un bond,
Des paroles désespérées ,
Car,oui,je voudrais me libérer.
…La même qu’une une poussière isolée
L’ensemble de tes mots
Forme un joli radeau
Qui le soir adouci
Ma bien trop longue vieÉcrire pour ne pas mentir
Écrire pour ne pas mourir
Écrire pour bien moins souffrir
Écrire plutôt que périrTant de mauvaises pensées
Qui ne font qu’augmenter
Elles aiment me torturer,
Me faire me lamenterCela ne fait que quelques mois
Mais je sens le lourd poids
De la trop mauvaise tournure
De ma vie qui devient tortureSi tu connaissais ma joie
Quand ton post sous mon toit
Est arrivé comme ça
Juste au bon endroit
Quand ça allait pasEnfin quelqu’un qui écrit
Des poèmes et qui en litPlus d’abréviations
Ni d’explications
Juste de belles créationsUne poussière isolée
Qui est bien désolée
Que tu doives supporter
Ces nombreuses années.P.S. :
Je m’excuse, je ne fait pas écrire de poèmes dans mon P.S.
Tu n’es pas obligé.e de répondre, mais si tu acceptes peut tu me donner ton âge s’il te plaît, juste pour avoir une idée.
Sache que tu écris très bien.Une larme sur l’aorte
ParticipantA la lumière obscure d’une tombe,
c’est la pluie de mes larmes qui tombe.
Une pensée, un souvenir qui reste en gorge,
au-delà de la souffrance, c’est ma rancœur qui se forge.Malgré ton age, tu te sens seule et incomprise,
abandonnée des êtres qui, en plus te méprise.
Parée de ton obole pour payer Charon,
tu te refuses, malgré toi, d’être livrée aux moucherons.Alors la gorge serrée, noyée
Tu avaleras les âmes des damnés
tu en deviendras sans doute une reine
Vivante et forte, bien que rongée par la peine, ou bien la haine.Des chaines qui se brisent aux mots du démon
D’autres s’en viendront au doux son de ses jurons.
On se livre sans concession.
De la poésie, une obsession…Une larme sur l’aorte
ParticipantA la lumière obscure d’une tombe,
c’est la pluie de mes larmes qui tombe.
Une pensée, un souvenir qui reste en gorge,
au-delà de la souffrance, c’est ma rancœur qui se forge.Malgré ton age, tu te sens seule et incomprise,
abandonnée des êtres qui, en plus te méprise.
Parée de ton obole pour payer Charon,
tu te refuses, malgré toi, d’être livrée aux moucherons.Alors la gorge serrée, noyée
Tu avaleras les âmes des damnés
tu en deviendras sans doute une reine
Vivante et forte, bien que rongée par la peine, ou bien la haine.Des chaines qui se brisent aux mots du démon
D’autres s’en viendront au doux son de ses jurons.
On se livre sans concession.
De la poésie, une obsession…Une larme sur l’aorte
ParticipantC’est un plaisir d’échanger avec vous dès maux en mots.
La même qu’une poussière isolée,
La même que le sol à vu cent fois fouler.
Chaque poussière est un diamant
Qui nattend que souffle pour aller de l’avant.Je ne donne pas mon âge sur cette plate-forme car tel n’est le but. Je ne suis ni jeune ni vieux je dirais. Mais j’apprécie grandement les échanges. Cela concentre l’esprit et donc apaise les angoisses.
Je ne peux qu’être content de savoir que mes mots redonnent le sourire ou du moins un certain contentement. Vous vivez tous des choses complexes et sensibles.
C’est comme un poison vertueux
Une liqueur sanglante d’un homme peureux.
Être le garde fou de sa propre folie
Lutter contre contre l’horreur de son courroux.Ne soit nullement désolée de ce que je dois endurer.
Je peux penser la mort journée après journée,
Avoir appelé, avoir supplié et même vendu mon âme damnée.
Je ne souhaite pas à jamais l’embrasser.Je découvre et j’endure.
Comme un envol sans voilure,
Tu devras construire tes ailes
En fuyant Icare pour être immortel.Si tu regardes ta vie avec tes yeux actuel, c’est là que tu n’y verras rien pour te rendre belle. L’angoisse est sournoise et dévorante, elle murmure toujours à ton oreille, elles sont mêmes plusieurs parfois à susurrer, à te malmener, te rabaisser. C’est le prix de l’angoisse quand elle n’est pas canalisée. Quand elle est absorbée sans lutter.
Des années à me dire que je suis ainsi comme une fatalité.
A l’avoir désiré, comme un monstre adopté
Ça grandit dans l’ombre,
Ça se nourrit de ta pénombre.La psychologie et le suivi reste la clef !
Mais personne n’a dit que cela serait le premier venu.
Cela demande de savoir à qui se confier et comment on veut se confier.
Trouver le fonctionnement de son cerveau, de comment il réagit à la joie, à la peur, aux angoisses comme à la colère et la haine.Sinon on finit par se dissocier,
On comment a voir la tête et le corps se séparer
Comment deux êtres à part
Et les émotions restent sur le quai de la gare.Je continuerai à parler ici dans tous les cas.
Je n’ai pas trouvé un autre endroit agréable pour faire cela.La même qu’une poussière isolée
Dans tes yeux je vois l’éternité
Ainsi que plein de sérénité
Mais je n’aperçois pas le malheur
Lui qui depuis le début me leurreDans tes yeux je vois les pétales
Qui rendaient mon bonheur total
Voilà ce qui est incroyable
Les épines sont indécelablesDans tes yeux je vois une belle illusion
J’ai donc pris une importante décision
J’avais oublié que tout a une fin
Et que l’existence n’est qu’un doux parfumPoème d’amour
Je l’ai fait pour
Du français
Il était prêt
Mais j’ai changé
L’intégralité
Pour le donner
Pour être
ÉvaluéLa même qu’une poussière isolée
Il y a de l’orage
Peut être qu’aller courir
Évacuerait ma rage
Ou je pourrais en finirC’est la bonne occasion
Pour ne plus rien entendre
Et ce avec passion
Il n’y a que des cendresPas envie d’y aller
La flemme de faire du sport
Pas envie d’exister
Cherchez pas le rapportUne larme sur l’aorte
ParticipantL’ivresse me livre et me laisse
Comme une âme en peine, sang veines
Tant d’année à consommer, je m’abaisse
A vouloir m’élever au-dessus de l’homme et de mes peines.Vieux démon que je suis, que je ne fuis,
Inspecte ce vaste monde sans raison.
Je voudrai goûter vos joues quand tombe la nuit,
Qu’une saveur nouvelle apporte la floraison.Au diable le désir du sport,
Quand ton âme vit le triste sort.
Il vaut affronter ses démons
Avant de vouloir faire des bonds.Qui veut d’un monstre sans peine et sans reine
Dans un monde d’apparence et d’illusion ms veines
Les écrans vous brisent sans peine
Vous êtes vos proches chaînes.Dragonnoir
ParticipantTrès jolie écriture Moi aussi j’écris des poèmes
Une larme sur l’aorte
ParticipantCe ne sont pas réellement des poèmes,
Seulement du sans rien sur les mains et le cœur.
Je nourris ma plume à même mes peines.
Ne ressentir ni bonheur, ni horreur.Une larme sur l’aorte
ParticipantUn dragon noir vêtu
Brûlant d’un désir reclus
Porte la lumière au loin
De ne pas trouver les siens.Une larme sur l’aorte
ParticipantDes rimes…
D’un démon infirme.
Use le seul venin appris :
Les mots qui suscitent l’envie.Une larme sur l’aorte
ParticipantUne larme sur l’aorte
Triste désir que j’avorte.
Que me reste-t-il pour exister ?
Un forum actif, une chanson à trouver.Comme le lapin d’Alice
Je me cacher dans mon terrier
Dans l’esprit sensible je me glisse
Offrant des pistes pour me trouver.Google et GPT sont-ils alliés ?
Dans la quête d’une pieuvre oubliée.
Dans le sang et la folie elle gît
Offrant tout à la créature qui la tiendra en vie.La même qu’une poussière isolée
Ils on commencé à discuter
Mais je ne les ai plus écouté
Je me fonds tellement dans la masse
Qu’absolument tout me dépasseJe n’entends rien
Je me sens bien
Seule dans ma bulle
Pas de virgulesMes angoisses arrivent trop vite
Pour que je ne les évitent
Où est la réalité
Oui elle m’a quittéeUne larme sur l’aorte
ParticipantQuel plaisir de lire quelqu’un passant par chez moi. J’ai eu tendance à m’étaler sur plusieurs sujets que j’ai créé ces derniers jours sur le forum. Sans doute pour lâcher prise un peu.
Voilà qu’il m’est donné,
à nouveau, de pouvoir lire dans la poussière !
Elle qui d’ordinaire me fait éternuer,
Celle-ci est plus proche d’une lumière.Lumière isolée cachant dans la cendre,
Perdant peu à peu tout désir d’entreprendre.
Qu’importe la réalité,
Quand on peut respirer.Voir le monde à sa manière
Sans les dieux ou Lucifer
C’est dans la sueur du sang
Qu’on va de l’avant.Plus rien à ponctuer
Plus d’âmes à ligoter
Le vieux démon ne dort
Il attend le triste sort - AuteurMessages