[lameufauboutdesavie]

La tristesse
je m’endors le soir en versant des torrents de larmes
j’ai la sensation de me tuer et d’avoir entre les mains mes propres armes
en cours je ne suis plus la même personne
l’anxiété me donne l’effet d’être nue devant mes camarades se moquant de moi
je dirais que mon cerveau ne m’aime pas
et essaye au contraire de me faire chuter au fond du désarroi
depuis l’enfance je ne me suis jamais sentie à ma place
comme une personne essayant de courir dans un magasin de vase
qui au fur et à mesure du temps passé
va voir sous ses yeux sa vie s’écrouler
et quand mon cerveau affiche au milieu de mon univers le panneau
accidents route cassée
mon cœur se décompose en milles morceau
ma tête affiche le mode no control
c’est mon corps tout entier
qui va pleurer à mon insu
et pour le plus grand malheur de ma santé mentale
à l’heure ou j’écris
je me réveille à 7 heures du matin
cela va être difficile
remarquez pas de changements face la vie que je mène

[Une poussière isolée]

Salut !
Très beau poème…
Si tu veux parler de tout ça, n’hésite pas.
J’écris aussi mas mao de poème…
Et je peux te dire que tu te débrouille vraiment très bien, si tu aimes écrire, n’arrête surtout pas.
Enfin, prends soin de toi et de ceux qui comptent pour toi. Tout les autres, rayés les de ta vie.

Une poussière isolée

[Une poussière isolée]

Salut, ça fait déjà plusieurs jours que j’envoie des messages, mais ils ne sont pas publiés, mais je réessaye une dernière fois.
Je voulais te dire que si tu veux parler de raisons qui t’ont amené à écrire ce poème, je suis là pour te lire et te répondre.
Ensuite, je me reconnais bien dans ce que tu écris, donc si tu le souhaites, nous pouvons discuter.
Et dernièrement, tu écris très bien, le poème se lit facilement, on comprend bien. Écrivant moi-même plusieurs poèmes, j’apprécie beaucoup celui que tu as écris. Si tu aimes écrire, et partager ou non, si ça te plaît, je ne peut que te dire de continuer, car c’est une grande aide quand ça ne va pas…

Enfin, prends soins de toi, et n’hésite pas à parler.

Une poussière isolée.

[Auteur]

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