Bonjour, Je vais vraiment mal, je me suis faite renier par ma famille aujourd’hui car ils ont découvert une conversation entre mon copain et moi. J’ai 15 ans et sans ma famille je ne suis rien. Depuis l’incident j’ai déja fais plusieurs crises d’angoisse, auto mutilation et tout les trucs qu’il faut pas faire.. J’ai juste besoin de parler..
Coucou pauvfille si tu veux tu peux me parler car je n’ai personne à qui parler Moi j’ai 13 ans et une vie que je qualifierai de ‘’médiocre et instable’’ Harcèlement, Deuil, divorce,dépression et j’en passe J’ai récemment perdu mon meilleur ami (mon lapin) qui était mon pilier. il m’écoutait sans conditions et se blottissait contre moi et me léchouillait quand je lui racontais mes mésaventures Il est mort trop tôt😭 a seulement 1 ans Il aurait dû avoir 2 ans aujourd’hui 😥 Depuis sa mort je suis encore plus mal qu’avant je pense au su😬c😬de souvent 😭😭😭😭😭😭😭😭 Bref mon problème ne vaut rien par rapport au votre vous pouvez me parler si vous voulez bisous 🥰
Ton message nous inquiète, tu dis penser au suicide souvent. C’est important que tu ne restes pas seul.e avec cette souffrance. Nous t’invitons à nous contacter afin qu’on réfléchisse ensemble à ce qui pourrait t’aider à te sentir mieux. Tu peux nous joindre par téléphone au 0800 235 236 ou par ch@t. Notre service est anonyme et gratuit, ouvert tous les jours de 9h à 23h (22h pour le ch@t). La ligne de prévention contre le suicide est également disponible 24h/24, 7j/7, en composant le numéro 3114. Tu n’es pas seul.e !
Je suis incapable de ressentir quoi que ce soit, à part l’agacement, la faim, la soif, et la fatigue, je fais des choses sans m’en rendre compte, je n’ai personne à qui parler..
Bonjour j’ai 15ans et je suis en seconde honnetement je me suis demandé si je fais bien de raconter mes problèmes mais je les garde depuis trop longtemps j’ai besoin de les laisser aller meme si personne ne me repond depuis toute petite je ne voulais qu’une chose que mes parents me donne de l’affection donc j’ai fait tout ce qui me demandais: sort toujours première ne te fait pas d’amis tout j’ai fait tout mais rien j’ai l’impression qu’ils m’utilisent quand ils n’ont plus besoin de moi ils me jettent et ça me fait très mal ensuite arrivé en quatrième je pouvais plus supporter mais je ne disais rien j’ai fini par rentrer en dépression à avoir des pensées suicidaires je me mutilais pour me calmer ma dépression a durée un an je ne mangeais pas je ne dormais pas je m’isolais pour pleurer j’en pouvais plus et j’ai rencontré une fille qui me comprenais elle m’écoutais et moi je l’écoutais mais j’ai remarqué qu’elle se comportais bizarrement puis elle s’est mis à me couper la parole pour parler d’elle je ne disais rien pensant que c’est normal mais elle m’a trahi j’ai été détruite elle a coupé les ponts sans me donner de raison ne m’adressant plus la parole depuis j”ai beaucoup de mal à parler avec d’autres personnes puis pendant les grandes vacances on a rendu visite à mes frères qui sont enfaite mais demi-frères mais moi je me foutais j’étais si heureuse de les rencontrer ils passaient leur temps à m’esquiver pour me rapprocher du dernier parcequ’ils sont trois j’ai joué à un jeu que je détestais le foot pour me rapprocher de lui quand il m’a dit oui j’étais heureuse me disant qu’il m’a accepté mais non il a passé son temps à me tirer le ballon dans mon ventre de plus en plus fort je suis partie je l’es vu sourire à mon départ j’ai eu mal après on va voir mes grand- parents et mes oncles maternel l’un de mes oncles me présentent ses amis et l’un d’eux essaye de me violer je passe les détails voilà à peu près ma vie merci m’avoir écouté
Bonjour Heu je sais pas ce qui m’arrive en ce moment mais C horrible jz me sens hyper mal je me déteste me trouve affreuse et horriblement grosse je mange comme 8 et je culpabilise comme jamais j’ai parfois envie d’en finir
J’ai beaucoup de mal pour le collège, je stress chaque jour et j’ai peur d’y retourner, je ne veux plus y aller, je ne me fais harceler par personne les gens sont plutôt gentils mais j’ai beaucoup de mal, je me met beaucoup la pression, parfois quand je stress trop je me scarifie… Je vais mal et je n’y arrive plus, je ne supporte plus cette douleur…
Bonjour ou bonsoir, ça fait pas mal de temps que j’aimerais me confier à quelqu’un mais j’ai toujours l’impression d’être ignoré par les personnes autour de moi ou juste que tout le monde en a rien à faire de mes problèmes. Je peux les comprendre, personne ne voudrait avoir à vivre avec une mère protectrice et hypersensible ; un frère avec des troubles et sans père. Je vis très mal depuis sa mort, il semblerait que pas mal de monde est réussit à penser à autre chose alors que moi je continue à pleurer tout les soirs en me demandant ce que j’avais fait à Dieu pour mériter ça. Bien que mes échecs amoureux est été nombreux, je pense que ma baisse de moral est plus lié à mes notes scolaires. Mon sourire faux dès que je reçois mon 11/30 devant mes copines, mais ma tête que je frappe contre mon bureau en me demandant comment mon père pourrait être fier de moi? Comment une affreuse fille comme moi pourrait réussir a devenir médecin? J’en pleure tellement, je voudrais juste tout arrêter, tout juste tout. Je veux en finir, j’en plus, ça va plus. Peut-être que ce sera mon dernier message d’ici là, je n’aurais pas pu vider toute ma pensée et mes faiblesses mais au moins j’ai pu laisser une trace.
Nous sommes sensibles à ton message dans lequel tu exprimes un deuil très douloureux et des idées suicidaires. Si tu le souhaites tu peux nous joindre de 9h à 23 h au 0 800 235 236, ou venir en ch@t de 9 h à 22 h.
🕳️ Mon histoire — Ce que je vis en silence J’ai 14 ans. Et ça fait maintenant plus de 8 mois que je suis boulimique. Au début, c’était occasionnel. Puis c’est devenu quotidien depuis plus d’un mois. Je me fais vomir tous les jours. Parfois plusieurs fois par jour. Je cache tout. À tout le monde. Je suis douée pour faire semblant, pour sourire, pour dire que tout va bien. Mais rien ne va bien. ⚠️ Ce que je vis chaque jour La boulimie n’est pas juste “manger trop”. C’est un cercle vicieux. Un piège. Une prison. Parfois, je mange une demi-tablette de chocolat, 5-6 bonbons, une part de tarte, et c’est suffisant pour me faire vomir. Parfois, c’est une pomme et un yaourt, et je me sens tellement coupable que je file aux toilettes. Je veux que mon ventre soit vide, comme si ça allait marquer un nouveau départ. Mais ce “départ”, il n’arrive jamais. Parce qu’après, je craque, je mange à nouveau, je me cache, je me fais vomir… Et je recommence. Il y a des jours où je me fais vomir 2 fois, 3 fois, parfois plus. Et dans un seul “épisode”, je peux m’enfoncer les doigts dans la gorge 20 à 30 fois d’affilée, jusqu’à ce que je sois vidée. Littéralement. 🤒 Mon corps, qui ne suit plus À cause de la boulimie : Je n’ai plus mes règles J’ai souvent la diarrhée J’ai une toux bizarre, constante Je suis pâle, alors que je suis métisse de base J’ai le regard vide, les traits tirés Je suis épuisée tout le temps Même des adultes commencent à le remarquer : “Tu as mauvaise mine.” “Tu as l’air fatiguée.” Mais je nie. Toujours. Je dis : “Ça va.” “Je suis juste un peu fatiguée.” Alors qu’au fond, je suis au bout. 🧠 Mon cerveau en vrille Depuis que tout ça a commencé, j’ai : Des troubles du sommeil Des envies de pleurer à n’importe quel moment Des notes en chute Une colère sourde qui me suit Et parfois, une sensation d’être complètement folle Je pense à tout ce que j’ai vécu. Parfois je regarde une photo de moi à 7 ou 8 ans… et je ne peux pas lui dire ce qui l’attend. Parce que c’est de pire en pire, année après année. 🧍♀️ Mes traumatismes d’enfance De mes 5 à 9 ans, je me faisais harceler par une fille qui se disait mon amie. Avec sa bande, elles m’ont plaquée au grillage, fourré des boules qui piquent dans la bouche, pincé le nez. Personne ne me protégeait. À 9/10 ans, j’ai commencé à faire des crises d’angoisse tous les jours, surtout après une série d’hospitalisations : Kawasaki, cytolyse hépatique, appendicite… À l’école, on disait que je mentais, que j’avais inventé tout ça pour qu’on me plaigne. Certains pensaient que c’était contagieux et s’éloignaient de moi. J’ai été marquée à vie par cette honte médicale. 💔 Les amitiés perdues J’ai eu plusieurs amitiés brisées. Et ça m’a détruite. Une amie très proche m’a un jour tourné le dos, sans aucune explication. Je l’aimais énormément. J’ai pleuré pendant des semaines. Une autre, rencontrée en vacances, était comme une sœur de cœur. Je lui ai écrit pour son anniversaire… et j’ai découvert qu’elle m’avait bloquée. Sans un mot. J’ai mis du temps à m’en remettre. Peut-être que je ne m’en suis jamais remise. Un jour, trois filles m’ont insultée, menacée, rabaissée, à trois contre une. J’ai pleuré quand elles sont parties, même si elles venaient de m’attaquer. Parce que je croyais encore que c’étaient mes amies. Et il y a cette autre amie, qui m’a humiliée devant des garçons, qui m’a forcée à me comparer à elle : “Allez, dis-moi lequel tu préfères entre moi et elle.” Puis qui a balancé des rumeurs sur ma famille, après avoir dormi chez moi pour mon anniversaire. J’ai tant aimé ces gens. Et ils m’ont laissé vide. 🤝 Mes relations aujourd’hui Aujourd’hui, j’ai deux amies proches. Mais parfois, je sens que l’une d’elles ne me comprend pas du tout. Elle parle souvent d’elle, se plaint de ses 43 kg, alors que je fais 20 kg de plus. Elle sait que j’ai des problèmes avec mon corps, mais elle dit quand même : “Je suis en sous-poids, le médecin m’a dit que le poids idéal c’est 45 kg.” C’est comme une claque en pleine face. J’ai failli pleurer. Mais j’ai juste regardé ailleurs. 🎭 Ce que je montre au monde Je suis cette fille toujours polie, souriante, solaire. Tout le monde pense que je vais bien. Mais la vérité, c’est que je joue un rôle. Je fais de la comédie, tous les jours. Et je me dis que tant que je ne m’écroule pas devant les gens, personne ne saura. Même quand des gars de ma classe m’analysent du regard et me demandent : “Tu te trouves belle, toi ?” “T’es bien dans ton corps ?” Je souris. Je fais genre. Alors qu’au fond, je veux disparaître. 💢 Et les remarques… Je reçois des remarques blessantes sur mon poids tout le temps. Ça va de : “Calme-toi sur la bouffe.” “Tu manges comme une grosse.” “T’assieds pas à côté de moi, gros cachalot, tu vas tout bouffer.” …jusqu’à un membre de ma famille qui m’a pesée avant de me servir à manger. Tu veux que je me sente sale, honteuse, mal ? C’est réussi. 🧨 L’aide, le silence, et pourquoi j’écris Je sais que je suis à un stade avancé de la boulimie. Je me détruis. Je le sais. Et pourtant… je n’arrive pas à parler. Je ne veux pas qu’on m’aide. J’ai peur qu’on m’oblige à changer. Je me dis que la vraie force mentale, ce serait de pouvoir dire un jour : “J’en suis sortie seule.” Mais parfois, je doute. Je ne sais même pas si je veux m’en sortir. Parce que cette douleur, elle est devenue ma normalité. ✍️ Pourquoi j’écris ce texte J’écris parce que je suis encore dedans. Je ne suis pas guérie. Et je n’ai encore rien dit à personne. Mais j’écris parce que j’en peux plus de me taire. Parce que peut-être que quelqu’un qui me lit se reconnaîtra. Et saura qu’il n’est pas seul. Je ne veux pas de pitié. Je veux juste que ce que je vis existe quelque part. Parce qu’on ne peut pas guérir d’un mal qu’on n’ose même pas nommer. 📌 Ce témoignage est anonyme. Il a été co-écrit avec ChatGPT, parce que je n’arrivais pas à trouver les mots toute seule. Mais chaque phrase vient de moi. Chaque douleur est réelle. Et chaque ligne est un petit pas vers… peut-être, un jour, aller mieux.
Je suis en couple avec une personne qui s’auto-mutile, et je ne sais pas comment l’aider malgré le fait qu’on communique sur le sujet. Je précise que c’est une relation à distance, et que ça rend parfois les choses compliquées. Je m’inquiète énormément pour cette personne, et même si elle me dit qu’elle arrive à se gérer, c’est difficile d’intervenir sans avoir peur de la brusquer ou de paraître intrusif. Avez vous des conseils ?
Bonjour, je ne sais pas vraiment quoi dire mais seulement que le fait de lire votre message m’a émue. Je n’ai pas encore 20ans mais je comprends ce que vous voulez dire, vivre une vie tranquille, sans se soucier de rien, sans problème d’argent, ni responsabilités, tout ça avec la personne que l’on aime, un amour vrai. En somme, une liberté de nos propres choix, de nos propres passions, et tout ça sans contrainte. C’est très beau rêve je trouve ! Je vous souhaite le meilleur pour le reste de votre vie.
Salut. Aujourd’hui je viens d’apprendre que ma psy part en retraite dans un peu plus d’un ans. Je la voit depuis que j’ai 8 ans et j’en est 16. J’ai pas de père, enfin techniquement oui, mais pas vraiment. Il me terrifie, il ma fait grandir dans la violence et la peur. Mais heureusement je ne l’est pas vue depuis 2022. Mais j’ai eu de la “chance” je n’est eu casi que des violence moral. Je voulais juste un père. Je voulais juste qu’il m’aime. Je voulais pas de poney ni allez a Disney, je voulais juste qu’il m’aime et pas que devant les invités et les assistants sociaux. Il préfère l’alcool, sa nouvelle femme, et ces nouveau enfants. Ma mère est malade depuis un moment maintenant. Et sa m’effraie. J’ai tellement peur. J’
Salut. Aujourd’hui je viens d’apprendre que ma psy part en retraite dans un peu plus d’un ans. Je la voit depuis que j’ai 8 ans et j’en est 16. J’ai du mal à imaginer que un jour sa s’arrêtera. J’ai pas de père, enfin techniquement oui, mais pas vraiment. Il me terrifie, il ma fait grandir dans la violence et la peur. Mais heureusement je ne l’est pas vue depuis 2022. Mais j’ai eu de la “chance” je n’est eu casi que des violence moral. Je voulais juste un père. Je voulais juste qu’il m’aime. Je voulais pas de poney ni allez a Disney, je voulais juste qu’il m’aime et pas que devant les invités et les assistants sociaux. Il préfère l’alcool, sa nouvelle femme, et ces nouveau enfants. Ma mère est malade depuis un moment maintenant. Et sa m’effraie. J’ai tellement peur. J’ai peur de me réveiller une nouvelle fois et qu’on me dise qu’elle est partie a l’hôpital pendant la nuit. Honnêtement je ne sais pas si l’an prochains elle sera toujours la c’est tellement incertain. J’ai peur. Il y a tout ces problème financiers. J’apprend rien a personne. La vie coute cher. C’est stressent, faut faire attention, ce restreindre et tout… J’ai envie de mourir. Ou de disparaitre. Ou que tout sa cesse. Je veux que sa s’arrête. Au départ j’allais mal, “juste” a cause de tout ce que mon géniteur ma fait subir. Et maintenant je vous avoues que je sais plus. Je sais plus du tout. Parfois cette tristesse se transforme en vide. Et sa me fait peur. Même ce que j’aime le plus ne me change pas les idées. Vous voyez quand peut importe a tel point vous essayer d’oublier, de vous distraire, sa reste, dans la tête. Et sa ne bouge pas. Je pourrais juste être la allonger dans mon lit et rien d’autre. Même cligner des yeux devient une corvée. C’est comme si un camion me rentrait dans la figure ! Et puis y’a la nourriture. C’est pas de la gourmandise. C’est comme un toc. Je peux pas m’en empêcher. Je mange. Je mange. Je mange. Je mange. Je mange. Je mange encore et encore. Sans contrôler. J’aime pas, pourtant. Je me sens encore plus mal après. Mais sur le moment c’est comme si je ne contrôler plus rien. Si vous saviez ce que je peux manger. A m’en donner mal au ventre. A en avoir envie de vomir. Bref Merci d’avoir pris le temps de lire (je suis désolée pour mon écriture, j’ai juste écris comme je pensait)
j’ai été maltraitée par ma mère pendant deux mois,elle ne s’est pas rendu compte de cette violence.g 0 liberté.j’aimerai oublier cette maltraitance,je ne peux même pas aller voir de psy,ma mère dit”voilà ce que ça fait d’avoir été trop pourrie gatée”(elle veut pas que je voie de psy)(je suis en 6e ,j’ai pas de tél,je peux pas rentrer toute seule,je ne peux aps voir mes amis en dehors des cours…) j’essaie de m’en sortir..je prends toutes vos idées pour sortir de ce mal être..je pleure parfois la nuit les images horribles quand ma mère me frappait…elle a essayé de se rattraper il y a 3 semaines sauf que pour elle ct pas de la maltraitance… je pense que la solution ce serait que j’aille voir un(e) psy…(elle ne veut pas help) aidez moi..
Ta situation est préoccupante. Tu dis avoir été frappée et tu sembles beaucoup souffrir. Tu as envie de voir un psychologue et effectivement, nous pensons que c’est important que tu ne restes pas sans aide. Nous t’invitons à nous contacter afin qu’on discute de ta situation et qu’on réfléchisse ensemble à la façon dont tu pourrais être suivie. Tu peux nous joindre par téléphone au 0800 235 236 ou par ch@t. Notre service est anonyme et gratuit, ouvert tous les jours de 9h à 23h (22h pour le ch@t).
je suis née dans un foyer violent mes parents se battait aujourd’hui j’en ai encore des traumas en août 2022 j’ai perdu la personne la plus importante pour moi ma grand mère après sa mort mes parents se sont séparés , ma soeur est née , j’ai vécu chez mon grand père , et j’ai déménagée en 6e j’ai vécu un enfer mon père a fais des choses horribles ce qui ma incitée a me faire du mal cette année de 5e (actuellement) a été compliquée j’avais arrêter de me faire du mal mais cette année ma pousser a refaire a cause de mes complexes mon père que je détester mon oncle qui s’est installé chez moi ce qui m’a pas vraiment aider et je me compare sans cesse a mon cousin dans le quel je suis dans l’ombre a l’heure d’aujourd’hui des hauts de mes 12 ans mes problèmes son toujours présent mes traumatismes aussi malencontreusement
Bonjour à toi, Je ne sais pas si tu es encore présent pour voir mon message, mais j’espère que c’est le cas. Sinon, j’espère que tu pourras m’ancrez tout voir cette réponse et entendre mes mots, qui sont, comme toi, tout ce qu’il me reste désormais. En lisant ton message, cela m’a bouleversée. J’ai senti en toi tant de désespoir et de résilience. Je pense que tu ne mérite pas cela, et que personne ne mérite de mourir pour quelque raison que ce soit. J’ai fait plusieurs tentatives, je sais ce que tu ressens. J’aimerais te transmettre à travers ce message le peu de force et de courage qu’il me reste après toutes les épreuves que j’ai traversé. Si tu es encore parmi nous, crois en moi : tu peux y arriver. Je crois en vous tous, et je sais que l’on peut trouver la force de rester malgré toutes ces raisons qui nous poussent à vouloir se tuer, et Dieu sait qu’elles sont nombreuses. Je penses qu’on ne guérira jamais vraiment de ces idées, qu’elles seront toujours dans un coin de notre tête en attendant de sauter sur la première occasion pour apparaître de nouveau. Mais c’est comme ça, et on peut faire avec je le sais. Croyez moi. J’espère que tu auras pu lire ce message et que tu y trouveras la compassion et l’amour que tu cherche. N’hésite pas à me renvoyer un message si tu le souhaite. Avec tout mon soutient, Elle
Bonsoir, Je voulais juste te dire que je voulais bien te parler et que comme toi j’aimerais aussi parler à quelqu’un sans qu’on ne me rejette ou me fasse comprendre que je ne suis qu’une égoïste égocentrique. Bonne soirée à toi, Elle
Au volant, ni appel, ni message, ni réseaux sociaux - Et si nous transmettions la bonne attitude ?
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