Addict au chocolat : c’est possible ?
Peut-on être réellement dépendant au chocolat ? Une dépendance est une pathologie aliénante qui nous prive de notre propre liberté. Nous ne sommes plus libres d'agir selon notre volonté, nous sommes dépassés par quelque chose qui nous pousse à agir. On ne peut plus s'empêcher de consommer telle substance ou d'avoir tel comportement.
Certaines personnes disent être dépendantes du chocolat. Tous les jours, malgré leur désir de ne plus en consommer, elles enchaînent tablettes, barres ou ballotins. C'est irrépressible.
Le chocolat : une drogue douce ?
Les drogues sont des substances psychoactives, c'est-à-dire qu'elles agissent sur le système nerveux et notamment le cerveau. Le système nerveux est essentiellement composé de neurones, sortes de grands « câblages électriques », « fils », communiquant entre eux à l'aide de substances chimiques les neurotransmetteurs. Les substances psychoactives agissent au niveau de ces neurotransmetteurs. Le chocolat contient des molécules susceptibles de développer une dépendance. Parmi elles des cannabinoïdes identiques à certaines substances trouvées dans le cannabis! On a vanté les mérites du chocolat en disant qu'il avait des effets anxiolytiques (diminue l'angoisse) et antidépresseurs (améliore l'humeur) grâce aux diverses substances qu'il contenait. Ceci étant, malgré le léger sentiment d'euphorie et de bien-être qu'il procure, il ne peut pas être totalement assimilé à une drogue, même douce. Pour que ses composants deviennent psychoactifs, il faudrait en manger des quantités gargantuesques.
Ce qui est sûr cependant c'est que le chocolat procure du plaisir : plaisir du goût et de la texture, unique et irremplaçable.
Chocolat, plaisir et dépendance
Le chocolat est un aliment-plaisir. Tout comme les bonbons ou autres gâteries, on le consomme généralement avec l'envie de se faire plaisir. Ses qualités nutritionnelles n'en font pas un aliment de base, nécessaire au bon fonctionnement de notre organisme. C'est un plus, une gourmandise, un petit péché mignon...
C'est bien à ce plaisir là que l'on peut devenir accro. S'offrir une petite douceur, une petite récompense, un réconfort... Ces petits plaisirs quotidiens, semblant si anodins, peuvent venir compenser des manques et combler les vides propres à notre existence. Il arrive souvent que le rapport à la nourriture ait un lien avec la vie affective. On peut chercher à compenser un manque affectif en consommant diverses gâteries. Il se peut alors que ces petits plaisirs, venant faire taire une certaine souffrance, deviennent alors le seul remède, un échappatoire. Cela ne résout aucun problème de fond. On devient alors dépendant à ce remède qui peu à peu devient lui-même nocif, mauvais pour notre santé et notre bien-être. Par exemple : « je traverse une période difficile, j'ai tendance à compenser un mangeant du chocolat. Je prends du poids. Mon estime de moi devient plus négative, je doute de mes capacités à plaire, je rentre peu à peu dans un cercle vicieux où mon réconfort c'est manger du chocolat ».
Voilà ici brossé un schéma que l'on pourrait appliquer aux divers types de dépendance existantes.
Et même si l'idée de dépendance au chocolat peut faire sourire certains, il ne faut cependant pas prendre ce type de comportement à la légère. Il peut être en effet difficile de trancher entre une réelle dépendance forte et incontrôlable et une mauvaise habitude « indécrottable ». Les petites « crises de boulimie » de chocolat sont bien souvent accompagnées d'un sentiment de culpabilité et de dévalorisation de soi très prononcé. La souffrance cachée derrière ces comportements doit être prise en compte, et si possible traitée.
Cho-cho-cho-chocolat… Tu aimes tellement ça que tu as du mal à t’en passer. Dur de ne pas y succomber au point d’y penser tout le temps ? Un peu comme l’air d’une chanson qui te resterait en tête ;-)?
Tu penses être accro au choco. Mais peut-on réellement être dépendant au chocolat comme on le serait d’une drogue ? Est-ce dangereux ou bon pour la santé ?
Le chocolat : une drogue douce ? Pas si sûr !
Pour une grande majorité d’entre nous, le chocolat rime avec plaisir, gourmandise, détente, cadeau, et bien d’autres choses positives ! Pourquoi cet aliment déchaîne-t-il autant de passions ? Aurait-il un effet sur notre cerveau et notre organisme comme pourrait l’avoir une drogue ?
Des neurobiologistes se sont penchés sur la question et voici ce qui en a découlé : lorsque tu manges du chocolat, cela activerait dans ton cerveau « le circuit de récompense ». Pour faire simple, ce circuit est composé d’un réseau de connexions reliant deux groupes de neurones responsables des sensations de satisfaction et de plaisir que tu peux ressentir.
Amateur ou amatrice de chocolat, lorsque tu en manges ton circuit de récompense s’active et va notamment libérer un neurotransmetteur appelé : dopamine. On la nomme aussi « molécule du plaisir » car quand tu fais quelque chose qui te procure du plaisir (écouter de la musique, manger, faire l’amour, jouer aux jeux vidéo, faire du sport, etc.) elle est libérée et tu te sens bien ! Tout cela ton cerveau le mémorise, et c’est pour ça que tu auras envie de retenter l’expérience pour retrouver cette sensation de plaisir et de bien-être.
Ce qui peut prêter à confusion, c’est que quand on consomme de la drogue, le système de récompense s’active également. Et la dopamine joue aussi un rôle dans la dépendance à une substance. Mais contrairement aux drogues douces ou dures, tu n’as pas besoin de consommer plus de chocolat pour ressentir le même plaisir. Il n’y a pas d’accoutumance, de troubles graves en cas de manque et donc de dépendance physique et psychologique comme on l’entend pour les drogues.
En conclusion, le chocolat n’est pas une drogue même si tu peux ressentir de la contrariété ou de la frustration quand tu en as envie et que tu ne peux pas en croquer, ou que tu as du mal à t’en passer !
L’excès de chocolat cacherait-il autre chose ?
Le chocolat est donc bien souvent un aliment plaisir, c’est d’ailleurs pour cela qu’on a envie d’y revenir car on aime ça !
Mais parfois, quand il devient vraiment difficile de s’en passer, qu’on ressent ce besoin irrépressible d’en manger en grande quantité et qu’on a du mal à s’arrêter, cela vient peut-être signifier autre chose. Qu’en penses-tu ?
Viendrait-il compenser des manques, combler un sentiment de vide, ou autre chose ? Il arrive souvent que le rapport à la nourriture ait un lien avec la vie affective. Il devient alors un remède, une échappatoire. Malheureusement, cela ne résout pas le problème de fond. On devient alors dépendant à ce remède qui peu à peu devient lui-même nocif, mauvais pour notre santé et notre bien-être.
Exemple : Je traverse une période difficile et manger du chocolat me réconforte mais je prends du poids. Du coup je m’en veux, je me trouve nul-le et comme quand je me sens mal je n’arrive pas à arrêter de manger du chocolat. C ‘est alors un cercle vicieux.
Comment transformer ce cercle vicieux en cercle vertueux où manger du chocolat redevient un plaisir ? Réfléchir tout-e seul-e ou avec un proche à ce qui pourrait se cacher derrière cette consommation excessive de chocolat pourrait être une première piste, non ? Et faire un petit quiz rigolo aussi :yes:.
Slt,
Jorai voulu avoir qlq conseils car je suis accro au chocolat, je peux en manger de grosses quantité sans ecoeurement.
Quand je rentre chez moi vers 4h je manger tt dabord un fruit et un yaourt…mais je me dirige vite vers le pot de nutella et commenca a en manger a la cuillere. Apres je vais vers tt ce qui est sucré et doux(cremes, gateaux..)
Apres m’etre « gavé » je vais sois faire du sport car je culpabilise enormement sois je vais vomir. Me faire vomir est tres rare, je ne l’est plus fai d’ailleur depuis au moins 2mois.
Commen je peux areter de manger du chocolat? Jai deja chercher des astuces tel que « ce brosser les dents pour couper lenvi, prendre des chew-gum, se poser les bonnes questions comme:ai-je vrmt fait ….. » mais ca marche pas jai vu sur un site que ca pouvai du a un manque afectif, que on peu vouloir combler le manque avec des douceurs comme le chcocolat et sucrerie douces, cela pourai tt a fait coller avec ma situation q’en pensser vous? Jai aussi vu que certains complemen alimentaires pouvai passer cette envi de sucre, ece vrai?
tu souffre probablement de boulimie, cela peut devenir grave ,tu ferais bien de voir un médecin.
Pour moi qui adore le chocolat, j ai un secret !! Je mange un chewing gum a la menthe après avoir mange le morceau de chocolat et apres je n ai plus envie d y toucher!!!
Et quand on adore le chocolat à la menthe ?
oui moi je confirme que le chocolat est bien une drogue car je ne peux plus m en passer et cela me procure un reel plaisir lorsque j en mange est je suis de nature anxieuse et stresse egalement, est ce gout agreable me detend. pour moi c une bonne drogue!! apres je me dis kil faut faire un peux de sport pour eliminer mais surtout les accro a cet bonne drogue n arreter pas c est telment bon!!!!!
Je pense aussi avoir une dépendance au chocolat, plus ou moins forte selon les périodes, mais présente tous les jours. J’ai quotidiennement envie de chocolat. J’ai déjà essayé de ne plus en acheter mais ça vire à l’obsession jusqu’à ce que je finisse par sortir exprès pour en trouver. De toute façon aujourd’hui, presque tout le monde est dépendant à quelque chose : nourriture, alcool, drogues, jeux vidéo, sexe etc. alors bon, une dépendance au chocolat, ma foi, c’est pas ce qu’il y a de pire 😛
Je viens de tomber sur ce site et c’est vrai le chocolat provoque une dépendance ! Je n’arrive plus a me passer de chocolat depuis l age de 3 ans, lorsque je suis énervé , déprimé ou que je m’ennuie , je mange carrément la tablette entière ! J’essaye de m’arrêter mais cela deviens très dure, ça vire a l’obsession.
J’essaye de manger équilibrer et je n ai aucun soucis avec les autres aliments sauf bien sure le CHOCOLAT !