L’automédication
La moitié des médicaments en automédication concerne la douleur ou la fièvre, et l'autre moitié concerne les traitements contre le rhume, la toux et les troubles digestifs. Les médicaments les plus couramment utilisés, sont l'Aspirine et le Paracétamol.
Il existe plusieurs façon de s'automédiquer. On peut prendre :
* des médicaments vendus sans ordonnance, c'est à dire, prévus et conçus pour être utilisés sans l'intervention d'un médecin. Ils peuvent être utiles notamment dans le cas d'un rhume. Il faut toujours bien lire la notice et consulter son médecin si les symptômes persistent ou s'aggravent.
* des médicaments avec ordonnance mais pouvant être vendus sans, comme l'Aspirine. Ces médicaments ont des contre-indications et parfois des effets secondaires à prendre au sérieux.
* le reste d'un traitement. Par exemple, finir une boîte d'antibiotiques parce que l'on recommence à tousser sera inefficace. Ce n'est pas forcément le même germe, ça peut entraîner une résistance à ces germes et vous n'aurez pas de quoi faire un traitement prolongé. A ne jamais faire.
Quels sont les risques ?
Chacun a chez soi des médicaments destinés à soigner les petits maux de tous les jours. Cependant, le fait de pouvoir s'en remettre à soi même pour se soigner banalise l'emploi des médicaments de la pharmacie familiale et peut faire oublier qu'il y a des précautions à prendre avec tout médicament sans exception. L'utilisation d'un médicament aussi courant soit-il n'est jamais anodine et comporte toujours des risques potentiels.
Les risques sont :
* retarder le diagnostic et par conséquent la prise en charge de la maladie.
* Une erreur de posologie entraînant un surdosage parfois grave.
* utiliser un médicament inefficace ou déconseillé pour la maladie en question.
* méconnaître les effets secondaires.
* ne pas prendre en compte l'interaction avec un traitement en cours.
* ne pas penser aux allergies potentielles.
Quelques exemples :
Une prise trop importante de paracétamol peut entraîner des problèmes au foie ou l'abus d'aspirine et d'anti-inflammatoires peut exposer à des accidents digestifs graves (notamment une hémorragie).
La place du médecin :
C'est un interlocuteur très important quand quelque chose ne va pas. Il est habilité à faire le lien entre les symptômes que vous présentez le diagnostic, il connaît vos antécédents personnels (et éventuellement familiaux) de santé, a noté dans votre dossier médical si vous avez déjà présenté une réaction allergique à un médicament...N'hésitez pas à le consulter.
A ne pas oublier :
* Une bonne automédication demande de la rigueur et un peu de connaissances.
* Elle doit être utilisée à bon escient, et pour une durée très limitée.
* Le recours à un avis médical est une règle si les troubles persistent.
Un médicament, ça ne se prend pas à la légère. Rien ne remplace un coup de fil à son médecin ou encore l'avis de son pharmacien, et n'oubliez pas que c'est toujours utile d'en parler à ses parents.
L’automédication est la prise de médicaments sans avis médical. 95% des français déclarent y avoir recours.
L’automédication peut permettre de traiter les symptômes courants et bénins, pour une durée limitée, sans l’intervention du médecin, avec le conseil du pharmacien, comme par exemple les douleurs légères ou modérées, la fièvre, le rhume, les maux de gorge.
La plupart des médicaments disponibles sans ordonnance ne sont pas en libre accès dans les pharmacies, les patients doivent en faire la demande au pharmacien qui reste le professionnel de santé le plus rapidement accessible.
Et même s’ils sont en vente libre, ils présentent des effets secondaires.
Quels sont les médicaments les plus utilisés en automédication ?
La moitié des médicaments en automédication concerne la douleur ou la fièvre, et l’autre moitié concerne les traitements contre le rhume, la toux, les insomnies et les troubles digestifs. Les médicaments les plus couramment utilisés sont l’Aspirine et le Paracétamol.
Il existe plusieurs façon de s’automédiquer
On peut prendre :
- Des médicaments vendus sans ordonnance, c’est-à-dire prévus et conçus pour être utilisés sans l’intervention d’un médecin. Ils peuvent être utiles notamment dans le cas d’un rhume. Il faut toujours bien lire la notice et consulter son médecin si les symptômes persistent ou s’aggravent.
- Des médicaments avec ordonnance mais pouvant être vendus sans, comme l’Aspirine. Ces médicaments ont des contre-indications et parfois des effets secondaires à prendre au sérieux.
- Le reste d’un traitement. Par exemple, lorsque l’on recommence à tousser et que l’on finit le sirop qu’on avait entamé il y a trois mois.
Quels sont les risques ?
Chacun a chez soi des médicaments destinés à soigner les maux de tous les jours. Cependant, le fait de pouvoir s’en remettre à soi-même pour se soigner banalise l’emploi des médicaments et peut faire oublier qu’il y a des précautions à prendre. L’utilisation d’un médicament aussi courant soit-il n’est jamais anodine et comporte toujours des risques potentiels. Attention aux dates de péremption, à l’accoutumance, aux interactions.
Les risques sont :
- Le retard de diagnostic et par conséquent de la prise en charge de la maladie
- L’erreur de posologie entraînant un surdosage parfois grave
- L’utilisation d’un médicament inefficace ou déconseillé pour la maladie en question
- Les possibles effets secondaires
- L’interaction éventuelle avec un traitement en cours
- Les allergies potentielles
- L’empoisonnement
La place du médecin
C’est un interlocuteur très important quand quelque chose ne va pas. Il est habilité à faire le lien entre les symptômes que vous présentez et le diagnostic, il connaît vos antécédents personnels (et éventuellement familiaux) de santé. Il note dans votre dossier médical si vous avez déjà présenté une réaction allergique à un médicament… N’hésitez pas à le consulter.
Automédication ne veut pas dire auto-diagnostic. Le recours à un avis médical est une règle. Un médicament, ça ne se prend pas à la légère. Rien ne remplace un coup de fil à son médecin ou encore l’avis de son pharmacien, et n’oubliez pas que c’est toujours utile d’en parler à ses parents.
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