Permission de minuit
Quand on arrive à l'adolescence, on est confronté à une multitude de contradictions.
On n'est plus un enfant, mais on n'est pas encore un adulte. On se sent capable d'assumer tout un tas de responsabilités, et à la fois, aux yeux de la loi, on est encore sous la responsabilité des parents. On a envie de vivre des expériences d'adulte, mais on est un peu obligé de leur en faire le compte-rendu. Alors comment faire cohabiter fêtes et parents?
La confiance
Très dure à obtenir, on peut la perdre en un rien de temps et pour longtemps. Vous souhaitez que vos parents vous fassent confiance ? Très bien, alors faites leur confiance aussi. S'ils vous imposent une heure de retour, ça n'est pas pour vous embêter. Ils veulent vous protéger tout en vous laissant vous amuser quand même. C'est leur rôle et même si ça peut vous déplaire fortement, c'est comme ça. De plus, à 12 ans, on n'a pas besoin de sortir aussi tard dans la nuit qu'à 17 ans. De même à 17 ans, on ne sort pas de la même façon qu'à 24. S'ils refusent catégoriquement de vous laisser sortir, c'est bien souvent qu'ils ont peur. Peur pour vous. Ils n'osent pas et n'arrivent pas à se le dire et à vous le dire, leur réaction est forcément extrême et sans appel : c'est un REFUS. A vous de jouer le dialogue, d'aborder les points qui pourraient effrayer les parents, les rassurer. Par exemple, s'ils souhaitent savoir où vous allez et avec qui, peut-être vaut-il mieux leur dire. Sans donner trop de détails, cette réponse peut suffire à les rassurer. Le truc, c'est que si vous mentez, vous prendrez le risque de perdre la confiance de vos parents, et là après, pas facile de la récupérer ! Le mieux est alors peut-être de leur montrer que oui, vous êtes responsables de votre vie !
La patience
Comme le disait Jean de la Fontaine tout vient à point à qui sait attendre. Vous mourez d'envie de sortir jusqu'à deux heures du matin comme certains de vos copains, mais vos parents ne vous donnent que la permission de minuit. Vous êtes en colère, déçus, agacés, mais, en faisant preuve de patience, votre couvre feu s'allongera de lui-même. En rentrant à minuit, comme promis la première fois, vos parents voudront peut être vous récompenser en vous donnant une demi heure de plus, la fois suivante. Et ainsi, petit à petit, votre temps de sortie peut s'allonger jusqu'aux fameuses 2h du matin. De plus, dans ce laps de temps, vous allez grandir, mûrir, et vos parents trouveront normal de vous accorder quelques faveurs de plus. Les interdits, les règles, vous donnent une idée des limites à ne pas dépasser et vous confirment que vos parents s'inquiètent, s'intéressent à vous... vous aiment quoi !
Il y a une chose que vous pouvez retenir : il s'agit bien d'une négociation, alors c'est aux deux parties de faire des efforts pour que le résultat soit payant et durable !
Avec toutes ces bonnes recommandations dans votre besace, profitez bien des fêtes estivales qui se profilent, et n'oubliez pas qu'aux douzes coups de minuit, votre carosse se transformera en citrouille.
Ça y est le week-end arrive ! La fin des examens aussi ! On a qu’une envie : se détendre, passer du bon temps entre amis… faire la fête quoi ! Mais c’est sans compter sur l’avis des parents. Et oui, faire la fête rime souvent avec rudes négociations parentales.
Quand on arrive à l’adolescence, on est confronté à une multitude de contradictions. On se sent capable d’assumer tout un tas de responsabilités, et à la fois, aux yeux de la loi, on est encore sous la responsabilité des parents. On a envie de vivre des expériences d’adulte, mais on est bien contents qu’ils soient là en cas de problème. Alors comment faire cohabiter fêtes et parents ?
La patience
Comme le disait Jean de la Fontaine : « tout vient à point à qui sait attendre ». Tu meurs d’envie de sortir jusqu’à deux heures du matin comme certains de tes copains, mais tes parents ne te donnent que la permission de minuit. Tu es en colère, déçu-e, agacé-e, mais, en faisant preuve de patience, ton couvre-feu s’allongera de lui-même. En rentrant à minuit, comme promis la première fois, tes parents voudront peut-être te récompenser en te donnant une demi-heure de plus, la fois suivante. Et ainsi, petit à petit, ton temps de sortie peut s’allonger jusqu’aux fameuses 2h du matin.
La confiance
Tu souhaites que tes parents te fassent confiance ? Très bien, alors fais-leur confiance aussi. S’ils t’imposent une heure de retour, ça n’est pas pour t’embêter. Ils veulent te protéger tout en te laissant t’amuser quand même. C’est leur rôle et même si ça peut te déplaire, il vaut mieux essayer de les comprendre.
A toi de jouer le dialogue d’essayer de comprendre leurs arguments, ce qui pourraient effrayer les parents, les rassurer. Par exemple, s’ils souhaitent savoir où tu es et avec qui, peut-être vaut-il mieux leur dire car c’est peut être seulement pour te savoir en sécurité et où te joindre s’ils ont besoin de toi. Le truc, c’est que si tu mens, tu prendras le risque de perdre la confiance de tes parents, et là après, pas facile de la récupérer ! Le mieux est alors peut-être de leur montrer que oui, tu sais tenir tes engagements !
De plus, dans ce laps de temps, tu vas grandir, mûrir, et tes parents trouveront normal de te laisser plus de libertés. Les interdits, les règles, te donnent une idée des limites à ne pas dépasser et te confirment que tes parents s’inquiètent, s’intéressent à toi… t’aiment quoi !
Avec toutes ces bonnes recommandations dans ta besace, profite bien des fêtes qui se profilent, et n’oublie pas qu’aux douze coups de minuit, ton carrosse se transformera en citrouille .






